Gestion forestière et participation citoyenne

Étudiant l’enfrichement des côtes de Moselle, A. Gouju (université de Lorraine) consacre un chapitre de sa thèse au « collectif forêt » du Val de Metz. Cette association, constituée en réaction à des travaux réalisés par l’ONF et au développement d’un « plan de paysage », revendique une plus grande participation à la prise de décision. Elle critique une vision de la forêt comme « usine à bois ». L’auteure montre ainsi comment des néo-résidents, issus des couches moyennes intellectuelles, s’immiscent dans les luttes locales pour le contrôle de l’utilisation des terres, dans un contexte de déprise viticole.

Source : HAL

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