Le secteur de la volaille à l’horizon 2020

Des coûts de production très compétitifs, l’absence d’interdits culturels ou religieux, une empreinte carbone relativement bonne sont autant de facteurs en faveur de la viande de volaille.

C’est pourquoi, dans une étude récente [https://www.pressroomrabobank.com/publications/food__agri/rabobank_report_crossroads_for_growth_.html – ce lien n’est plus valide], Rabobank prévoit une croissance de 30% de la demande durant la prochaine décennie. L’approvisionnement local devrait se développer en lien avec la demande de produits frais, mais, dans le même temps, l’internationalisation et la compétition mondiale devraient se renforcer. L’Ukraine et l’Argentine sont considérées comme ayant un potentiel d’exportation important à moyen et long terme, le Brésil restant un acteur dominant.

La durabilité et le bien-être animal devenant des questions de plus en plus importantes, Rabobank recommande dans ce domaine des démarches proactives.

Céline Laisney, Centre d’études et de prospective